CE QUE MON OEIL VOIT

Chaque livre possède son lot d'erreurs, quel que soit l'éditeur, ou l'auteur. En voici quelques-unes que mes yeux ont pu déceler. Parfois, je ne les vois pas, la preuve que je ne suis pas un robot, ni la cousine de l'IA ! 

Chandernagor, juré du Prix Goncourt et excellente écrivaine.

L'enfant des Lumières, Gallimard. 

Voici le texte, page 280 : Elle aurait voulu... faire l'hypocrite, se cacher comme la SECHE derrière un nuage de bile noire.

 

Il fallait corriger : Comme la SEICHE 

Pascal Bruckner, un génie selon moi ! 

Les ogres anonymes, GRASSET 

Page 87, l'effaceur : 

Paul Folcone était déçu : même repeint, même habillé d'une couleur nouvelle, sa maison restait identique... 

Il fallait corriger : même repeinte, même habillée...

Marcel Pagnol, mon chouchou :

La gloire de mon père, page 96  : En passant pas la boutique.

Il fallait corriger : par la boutique 

Page 73

Reines et princesses au temps des Capétiens,

Gaëlle Audéon, très enrichissant. Une TOUTE PETITE COQUILLE, ce signe = qui n'a rien à faire ici. 

EDITIONS GLENAT 

Roman magistral de Folco, mis en BD par les éditions Glénat. Pourtant... 

Il fallait écrire "Elle se MEURT." Se mourir au présent de l'indicatif est "elle se meurt". Je sais qu'elle se meurt n'est pas du subjonctif.  Donc pas de MEURE. 

L'excellente MARYSE CONDE, prix NOBEL alternatif de littérature alternatif. Un livre admirable (comme les autres !) 

La correction 

Il fallait écrire ici "je ne DONNAIS le bonjour ou le bonsoir à personne. Le correcteur de notre grande écrivaine a dû mal corriger ou se tromper. Ce qui signifie que nul n'est parfait. 

Quelques livres que j'ai corrigés, sur une bonne centaine depuis 2013.

Je suis très à cheval sur les précisions : dates, époques, cohérences dans tous les domaines scientifiques, ésotériques, historiques, culinaires etc.